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LA TRAITE NÉGRIÈRE PAR LES ARABO-MUSULMANS, « VÉRITÉ CACHÉE »…

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LA TRAITE NÉGRIÈRE PAR LES ARABO-MUSULMANS, « VÉRITÉ CACHÉE »…

La pire, la plus inhumaine, la plus diabolique institution de la traite négrière fut initiée, définie, perpétrée et mise en œuvre par les Arabo-musulmans, aidés par la suite par les noirs convertis à l’Islam.
« Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont presque tous disparu du fait des traitements inhumains. Cette douloureuse page de l’histoire des peuples noirs n’est apparemment pas définitivement refermée.

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La traite négrière a commencé lorsque l’Émir et Général arabe Abdallah ben Saïd a imposé aux Soudanais un « Bakht » (accord), conclu en 652, les obligeant à livrer annuellement des centaines d’esclaves. La majorité de ces hommes était prélevée sur les populations du Darfour. Et ce fut le point de départ d’une énorme ponction humaine qui devait s’arrêter officiellement au début du 20ème siècle.» Si la traite transatlantique a été qualifiée à juste titre comme un crime contre l’humanité, ce qu’il faut dire c’est que celle pratiquée par les Arabo-musulmans fut un véritable génocide parce que le sort qui était réservé aux captifs Africains apparait aujourd’hui avec le recul comme une sorte d’extinction ethnique à terme mais programmée par castration massive et on sait aujourd’hui qu’ils ont pratiquement tous disparus en dépit de masses énormes d’Africains déportés dans les pays arabo-musulmans d’où l’utilisation du terme génocide parce que si vous avez dix-sept millions de déportés et que par la castration massive vous n’avez qu’une minorité de noirs qui ont réussi à survivre en terre d’Islam alors que de l’autre côté (transatlantique) nous avons soixante-dix millions d’individus qui sont descendants ou métisses Africains qui peuplent le continent Américain des États-Unis jusqu’au Brésil en passant par les îles de la caraïbe alors que dans les pays Arabo-musulmans on en trouve plus de traces. Il serait grand temps que la génocidaire traite négrière arabo-musulmane soit examinée, évincée au débat au même titre que la ponction transatlantique car c’est un pont de l’histoire qui est méconnu, caché volontairement et occulté.
Cette amnésie volontaire de la part des élites noires sur la question s’explique par le fait que beaucoup de chercheurs ont encore du mal à passer d’une vision mémorielle affective de cette histoire évidemment pour des questions de solidarité religieuse à une approche distanciée et scientifique d’une histoire qui ne traite que des faits avérés. Rien qu’au Sahara, neuf millions de captifs (noirs) ont dû être transporté dans les conditions inhumaines dont deux millions ont péris ou alors sont restés en bordure du désert. Pour ce qui est de la traite orientale qui s’est déroulée dans les régions proches de la mer rouge et de l’océan indien on évalue environ à huit millions le nombre de victimes. Donc le bilan est lourd!
Puisque globalement on arrive à un chiffre effrayant de 17 Millions de morts, des déportés ou des castrés par des Arabes, c’est donc un génocide.
Il y avait un climat qui permettait ce racisme et cette volonté d’éliminer un peuple car il y a eu des érudits Arabes comme Ibn KHALDOUN (de son nom complet Abou Zeid Abd ) qui était le savant Arabe le plus célèbre du 14ème siècle. Et bien cet homme avançait l’idée selon laquelle les noirs appartiennent au peuple à caractère bestial et il les traitait de sous-hommes et d’anthropophage et il prétendait que le seul peuple qui était adapté à l’esclavage était des nègres à raison d’un degré inférieur d’humanité et que leur place était plus proche du stade animal. Devant ces inepties il faut dire qu’aucune voie sérieuse dans le monde Arabe ne s’est levée pour défendre la cause des noirs, car à l’inverse des philosophes de l’époque de lumière en Europe, il faut dire que dans le monde Arabe, dans la quasi-totalité, les intellectuels étaient marginalisés sur la question, ils avaient donc abdiqué face aux obscurantismes et autres doctrinaires de la foie, évidement dans un tel contexte l’opinion de Ibn KHALDOUN et d’autres penseurs de la même mouvance faisait autorité et finissait même par être adoptée par la plupart des nations arabo-musulmane ce qui explique donc que le traitement inhumain et la mutilation généralisée des captifs (noirs) étaient acceptés, ce qui explique aussi aujourd’hui le résultat est qu’ils ont disparu en Turquie, en Iran, au Yémen, ils restent très peu en Arabie Saoudite et en Afrique du Nord.
Comme toujours il y a deux sous-cultures, celle du déni de la réalité et celle du politiquement correct.
L’esclavage n’a pas été créé par les blancs, il a existé au travers de l’histoire de l’humanité et a été pratiquée par toutes les tribus, cultures, civilisations, groupes ethniques, et religions.
Tout le monde ne sait pas que le mot arabe « abd » est synonyme d’esclave, par exemple, Abdallah signifie littéralement « l’esclave d’Allah», et que dans la langue Arabe, les noirs sont appelés « abid », pluriel du mot esclave.
Alors qu’on a beaucoup écrit sur la traite atlantique, on s’est étonnamment peu intéressé aux traites islamiques du Sahara, de la mer Rouge et de l’océan indien.
Alors que l’implication des Européens dans la traite vers les Amériques dura un peu plus de trois siècles, l’implication des Arabes dans la traite négrière a duré quatorze siècles et, dans certaines parties du monde islamique, perdure toujours. Bien que la jurisprudence islamique eût fixé des règles relatives au traitement des esclaves, ils furent l’objet de mauvais traitements monstrueux au cours de l’histoire. Ibn KHALDOUN écrivait: « les nations nègres sont en règle générale dociles à l’esclavage, parce qu’ils ont des attributs tout à fait voisins à ceux d’animaux stupides. »
Il faut aussi remarquer que les esclaves noirs étaient castrés (ablation des testicules), les noirs étant censés avoir une libido impossible à maîtriser.
Quand le Khalifat fatimide arriva au pouvoir en Égypte, il extermina la totalité des esclaves-soldats noirs, plusieurs dizaines de milliers, et leva une nouvelle armée d’esclaves.
De la Perse à l’Égypte ou au Maroc, les armées de 30.000 à 250.000 esclaves devinrent chose commune.
La traite des noirs par les Arabo-musulmans se pratiquait au Sahara, de la côte de la mer Rouge, et de l’Afrique Orientale jusqu’à l’Océan Indien.
Au seul 19ème siècle, pour lequel nous avons les archives les plus exactes, 1.200.000 esclaves furent emmenés via le Sahara jusqu’au Moyen-Orient, 450.000 de plus par la Mer Rouge, et 442.000 par les ports de la côte d’Afrique Orientale. Cela fait un total de deux millions d’esclaves noirs pour le seul 19ème siècle.
Si l’on compare la traite des esclaves Arabo-musulmane avec celle d’Amérique, on découvre des différences très intéressantes:

  1. Alors que deux esclaves sur trois emmenés en Amérique étaient des hommes, la proportion était de deux femmes sur trois pour la traite arabo-musulmane.
  2. Alors que la quasi-totalité des esclaves d’Amérique étaient employés dans l’agriculture, la majorité des esclaves du Moyen-Orient Arabe étaient destinés à l’exploitation sexuelle dans les harems, ou à servir dans l’armée.
  3. Alors que les esclaves d’Amérique firent beaucoup d’enfants avec des millions de descendants aujourd’hui citoyens du Brésil et des États-Unis, il survécut très peu de descendants des esclaves du Moyen-Orient.
  4. Alors que la plupart des esclaves d’Amérique purent se marier et avoir des enfants, la plupart des esclaves mâles au Moyen-Orient furent castrés et la plupart des enfants nés de femmes esclaves furent tués à la naissance.
    Ce qui est obscène dans ce sujet de la part de la culture Arabe c’est le déni de sa complicité avec la traite africaine des esclaves , ainsi que l’ignorance des Africains Noirs de la réalité de leur passé et de leurs conditions présentes.
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